Un cambriolage qui tourne mal !
18-05-24 10:03:06
Les faits ce sont déroulé le 24/06/2016 à 23h30, les employés commencent a travaillez à 00h personne était encore sur les lieux.
La Boulangerie Central de Paris à été victime d'un cambriolage, les malfaiteurs sont entré par la porte réserve situé a droite du bâtiment.
Ce bâtiment étant le plus sécurisé de Paris, les malfaiteurs on été victime du système de sécurité, une lampe rouge c'est mis a clignoter il ce sont méfiez en vu de la vidéo surveillance mais il on décidé de continuer leurs actions.
Il ce dirige alors vers les laboratoires ou est la marchandises, le système de sécurité verrouille alors toute les portes et les alarmes retentis comme jamais.
Le système est normalement sensé contacter automatiquement les services de gendarmerie mais suite a un dysfonctionnement ceci n'as pas eux lieu, le système a donc continuer de sonner.
Les malfaiteurs essaye de sortir par tout les moyens et ils ont le malheurs d'ouvrir une fenêtre du laboratoire, le système de sécurité ayant détecter que la vitre était casser dégage alors une fumer blanche épaisse, qui permet normalement d'endormir les malfaiteurs.
La fumer envahis donc le bâtiment entier suite au projecteurs qui ce trouve derrière les murs la fumer passe par les trous conçus a cette effet donc ne peut pas être désactivé ailleurs que depuis le central (Bureau du président directeur général).
Cette fumer commence donc a attaquer nos voleurs, il est 23:45 quand les deux hommes agées de 25 ans et 45 ans tombe à terre.
Mais le système de sécurité ne détecte pas que cette mesure à fonctionner il envoie donc une onde ultraviolet, cette onde est très nocive pour la santé.
Les deux hommes perdent la vie vers 23:50, la mort de ces deux hommes on était constater vers 23:55 par la gendarmerie de Paris qui passez par la et qui avais vu et entendu le système de sécurité.
Les deux hommes serai mort d'un arrêt cardiaque d'après l'autopsie.
Le parquet de Paris annonce qu'une enquête sérieuse est lancer, et de comprendre pourquoi le système n'as pas détecter que la fumer avais agis sur les malfaiteurs.
Le président directeur général devra répondre devant le tribunal avec ces collaborateurs du système.
