4 jours d'agonie pour un polonais de wallers

29-03-24 08:45:13
4 jours d'agonie pour un polonais de wallers

Un polonais célibataire de longue durée habitant wallers petite commune de nord a accueilli avec bonheur la fin de son calvaire lorsque les pompiers sont parvenus à le défaire de l'étrange étreinte qui lui avait saisi... le pénis. Autour de son mâle attribut, ce quinquagénaire amateur de fétichisme avait enfilé pas moins de treize anneaux péniens. Treize anneaux ? Mais pour quoi faire ?

L'anneau pénien – ou "cockring" pour nos amis anglophones –, placé sur la base du pénis, a pour but de retarder l'éjaculation et d'augmenter, de ce fait, le plaisir au moment de l'orgasme. Le raisonnement de cet homme, amateur de fétichisme, a dû consister à penser que, plus l'on mettait d'anneaux péniens, plus l'orgasme était retardé et plus sa force était décuplée.

Une extraction à la scie à métaux

Un raisonnement qui se tient, mais qui comporte des risques : en effet, l'homme, dont on ignore s'il a pu éjaculer, a fini littéralement emprisonné par les anneaux. Un effet de taille ? Pas forcément, répond une boutique spécialisée interrogée par la webzine The Local, qui a mené l'enquête : "Il y a plusieurs tailles d'anneaux, le pénis n'a pas besoin d'être très gros".

Toujours est-il que l'aventurier du fétichisme a subi quatre jours d'agonie pendant lesquels il s'est essayé à enlever ses étaux. Mais rien n'y fit. Il appela alors l'hôpital, qui se montra tout aussi incapable de trouver une solution au problème. Ce n'est qu'avec le concours des pompiers que, dans un procédé "particulièrement précautionneux", chaque anneau a pu être retiré, un par un, à l'aide d'une scie à métaux, tout de même.