Ensorcelé par un marabout béninois, son sexe devient un cornet de glace sans fin!
03-05-24 12:49:20
C'est une histoire assez cocasse qui nous a été rapportée par Jérôme, 39 ans, en vacances près de Bordeaux.
Alors qu'il était en famille sur la plage de Soulac-sur-Mer, un marchand ambulant a voulu impérativement lui vendre une paire de Ray-Bang. "C'est une paire de lunettes très spéciale, pour te protéger contre le mauvais oeil", insiste M.Saar, béninois de Kachou, dans le sud du Bénin.
Fatigué des interminables propositions de prix, Jérôme envoya promener l'ambulant. "J'en avais marre, c'était la quatrième fois qu'on me proposait des binocles : une pour retrouver l'âme soeur, une autre pour la fertilité, et même une pour 'enlarger mon pénis' !"
Hélas, le mal était fait. Sans vraiment s'en rendre compte, Jérôme avait provoqué M.Saar en lui demandant gentiment "d'aller se faire cigouler les grelots ailleurs", comprendre aller vendre ses breloques à d'autres badauds. Mais au Bénin, quand on touche aux grelots, c'est très très grave. Certaines familles ont été maudites pour moins que ça. Et sur plusieurs générations.
Ce n'était pas inscrit sur son présentoir, mais M.Saar est vendeur ambulant et marabout, deux ficelles pour bien piéger le chaland : "soit tu m'achètes un truc, soit je te jète un sort". Et Jérôme ne l'a pas vu venir : "j'ai bien senti un changement au niveau de mon bas-ventre, il faisait tout à coup beaucoup plus frais, et ce n'était pas désagréable mais assez étrange."
La surprise ne s'est pas fait attendre. A peine rentré au bungalow, Jérôme découvre un cône Vanille-Fraise modèle king-size entre ses jambes. D'abord interloqué, il demande à sa femme si elle avait bien remis les sorbets au freezer : "c'est qu'avec Lili on a l'habitude de pimenter nos soirées bunga-bunga avec des sorbets à la fraise" rajoute Jérôme avec un air narquois.
Mais aujourd'hui Jérôme se sent démuni. Après de nombreuses péripéties, il se retrouve séparé de sa douce Lili : "au début c'était génial, plus besoin d'acheter nos glaces érotiques, nous étions servis à domicile" poursuis Jérôme. "La routine a eu raison de notre amour, vanille-fraise tous les jours, on se lasse." [NDLR: et les kilos de madame aussi, car Jérôme a été élevé à la cuisine à la crème]
Néanmoins, Jérome nous confiait ce matin par téléphone qu'il avait trouvé grâce aux yeux de deux suédoises particulièrement friandes de son triste sort. La vengeance est un plat qui se mange froid. Mais pour l'instant, M.Saar ne risque absolument rien.
